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BOLOGNA (FERROVIA) 22 4-93 10-M
Monsieur Gust Vermeylen
81 Rue Pachéco
Bruxelles.
Belgio
BRUXELLES 1 23 AVRIL 1893 9-S
  • Temps
  • Emeutes
  • Rhumen
 
Cher,
Dès que j'ai reçu ta carte, j'ai écrit à Venise qu'on m'expédie sans retard ta lettre laquelle m'est parvenue ce matin. J'y ai lu avec peine que la dèche — la dèche, puisqu'il faut l'appeler par son nom — te poursuivait toujours avec acharnement. "Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés." Ce qui est vaudevillesque tout plein, par exemple, ce sont tes aventures avec la jeune "téléfaunesse" qui veut absolument perdre son pucelage sans y parvenir: c'est le moment de parler de l'obturateur virginal!! Le fiacre qui manquait de stores est riche! Moi à ta place j'aurais intenté un procès au propriétaire de la guimbarde en question!
"Ils s'étaient assis si fort
Cahin caha, Hui Dia, Hopla!
"Ils s'étaient assis si fort
"qu'ils avaient cassé un r'ssort!"

[1]
Voir Xanrof édition non expurgée!
Passant "du plaisant au sévère" je vais répondre à une demande que tu me faisais dans une de tes précédentes lettres, cioè: de te fournir une poésie décadente italienne! Diable! Je crois que c'est à peu près aussi difficile à découvrir qu'un ministre honnête ou un député pas compromis dans l'affaire du Panama (rien du chapeau du même nom)! J'ai acheté le dernier numéro de la Tavola rotonda, lequel m'a semblé aussi insignifiant & aussi nul que tous les précédents: en fait de "décadent" il n'y avait qu'un article de Lombroso sur la longévité des putains[2] où j'ai appris avec un plaisir mêlé d'étonnement [2] que Marion de Lorme avait vécu 135 ans et avait enterré 4 maris & que la Chloé de Martial n'en a pas épuisé moins de sept légitimes sans compter tous les autres, ce qui est très raisonnable pour une seule femme. — Fouiller les petites revues, je l'ai fait souvent déjà sans succès: c'est un travail qui coûte très cher, car il y a un pullulement de ces revues et il en naît d'autres tous les jours, et qui est très inutile. — J'achèterai prochainement les poésies de d'Annunzio pour voir s'il n'y a rien là de décisif.[3] — En attendant je te transcris la poésie la plus avancée que j'ai lue jusqu'ici & qui ne dépasse guère comme tu jugeras le Baudelaire de l' "Harmonie du Soir".[4] C' est une poésie de Diego Angeli faite pour accompagner un tableau de Sartorio. (Nuova Rassegna. N°3. - 5 février). Cela s'intitule: L'Addio.
Immobile nel vespero imminente
ella reca il simbolico giaggiuola
e sente dal suo cuor salire il duolo
alle sue labbra impetuosamente.

Ella reca il simbolico giaggiuolo
e i fiori azzurri sembrano incensieri (encensoirs)
l'odor risveglia i suoi tristi pensieri
e sente dal suo cuor salire il duolo

I fiori azzurri sembrano incensieri
ed ella tace in quella ora suprema:
porge alle amiche la sua man che trema.
L'odor risveglia i suoi tristi pensieri.

Ed ella tace in quella ora suprema
(s'odon misteriosi violini
gemer ne l'ombra sotto i verdi pini)
porge alle amiche la sua man che trema.

S'odon misteriosi violini
Che suonan arie piene d'abbandono,
le buone amiche ascoltano quel suono
gemer ne l'ombra sotto i verdi pini.

Le buone amiche ascoltano quel suono
con l'occhio dilatato, un poco triste:
intente ascoltan le violiniste
che suonan arie piene d'abbandono

[3]
Con l'occhio dilatato, un poco triste
pensano a quella lor sorte fatale;
scende sui campi il vespro trionfale
e intente ascoltan le violiniste.

Pensano a quella lor sorte fatale:
Dove? Quando? Si piegano leggeri
i fiori azzurri e sembrano incensieri;
scende sui campi il vespro trionfale.

Dove? Quando? Si piegano leggeri
i fiori azzurri come anime stanche (fatiguées)
e le Amiche reclinano le bianche
fronti, su quei purissimi incensieri.


Dimanche 16.
As-tu lu l'almanach de l'Université de Gand? Il est d'un gagaïsme intense & raffiné. Leur fameux referendum: la Société est-elle réellement sur un volcan?[5] a produit l'éjaculation de sottises attendue. Jules Simon surtout est beau, lui qui trouve que la société est sur 3 volcans: la guerre étrangère, la guerre sociale & ... le choléra! Est-il bête! Heureusement Georges Ohnet était là pour se montrer encore plus bête que lui! Triste! Et plus triste encore la littérature des jeunes gantois! Jamais, non jamais je n'avais rêvé une pareille collection de platitudes. Et dire que voilà les publications qui ont du succès & qui sont bien vues dans le monde officiel!
Et comme ça me dégoûte, parlons d'autre chose.
As-tu peut-être lu le recueil de sonnets de José Maria de Hérédia "les Trophées"? Je viens d'en lire un vaste éloge dans la Nuova Rassegna[6] où on semble donner la publication de ce livre comme un haut évènement littéraire. Qu'en penses-tu?
— J'ai achevé la lecture des deux livres de Hennequin: la Critique Scientifique & les Ecrivains francisés.[7] Décidément c'est d'une fameuse puissance d'analyse. Bien que certaines de ses opinions me déplaisent fortement (je t'en reparlerai à l'occasion) je n'ai pu m'empêcher d'admirer l'ensemble. Surtout "les Ecrivains francisés" est un beau livre. Très belles les études sur Poë, Heine, en revanche celle sur Dostoïevsky je la trouve très fausse. De très belles parties aussi dans les conclusions (surtout la partie psychologique).
[4]
— Je me suis remis depuis deux jours à la Vie impossible: je commence le chapitre III que je me suis résigné à changer également de fond en comble. Il concerne les aptitudes et le développement littéraires du personnage. En somme un des plus amusants à écrire. J'ai fait deux pages dont je suis assez content, particulièrement d'une impression crépusculaire rendu par sensations visuelles & auditives mêlées qui doit être d'un intéressant effet.
Malgré l'isolement de ma thébaïde, j'ai entendu vaguement parler d'émeutes dans notre chère Belgique et même à Bruxelles. Qu'en advient-il au juste? Est-ce qu'on s'empoigne? Un peu écrabouillement serait curieux et peut-être salutaire. Et puis il y aurait de belles impressions artistiques à recueillir!
Mardi 18.
Cher — Je profite, pour continuer cette lettre d'une soirée où le mal de tête m'obture l'entendement & m'empêche de piocher des phrases. Il fait une chaleur lourde qui fatigue étonnamment: je ne suis pas d'une demi[-]heure dehors que je n'en puis déjà plus. On devrait mener ici une vie de pacha.
— J'ai lu dans la Réforme & dans le Peuple le récit des émeutes de Bruxelles.[8] Je dois avouer que j'ai un peu regretté de ne pas être à Bruxelles. Ce doit être étonnant les empoignades entre ouvriers & agents de police, l'assaut des cafés, les vitres volant en éclats, Volders & Cie pérorant, Buls perdant la tête... De la couleur quoi! du mouvement! T'es-tu bien promené? As-tu étudié la psychologie des foules? Et n'as-tu reçu aucun projectile, ce qui serait moins régalant? J'attends des détails "artistes".
— Ici il fait toujours calme: pas d'évènement, si ce n'est qu'on a assassiné un employé de l'administration des chemins de fer en voulant tuer un chef!.. J'ai vu ses obsèques ce matin: il y avait foule pour assister à l'enterrement, un tas de jolies bolonaises, beaucoup de gaîté à laquelle contribuaient encore le soleil et les belles couronnes de fleurs que portait le corbillard .... Comme tout est motif à spectacles chez ces Italiens! Dire que je n'ai pas encore vu une scène émouvante ici, pas une tristesse profonde, pas une douleur qui émeuve... Les mendiants qui tendent la main sur votre passage ont tellement l'air de mendiants d'opérette, demandent la charité sur un ton si plaignard, ont des mines pitoyables si factices qu'on ne se sent point ému par leurs maux ni même disposé à y croire.
[5]
— La sécheresse est ici telle et si nuisible aux campagnes (il y a un mois qu'on n'a plus vu une goutte de pluie) que l'on institue de grandes messes à San Petronio pour supplier le Seigneur d'envoyer "La Desiderata pioggia."
— J'ai commencé à lire en Italien le Ultime lettere di Jacopo Ortis (le Werther italien) de Foscolo, et le poème héroï-comique bien connu: la Secchia rapita de Tassoni. Cette Secchia rapita peut être mise au nombre des oeuvres que nous ne savons plus lire aujourd'hui: cela nous paraît de la grosse, fade, insipide plaisanterie. Ces éternelles blagues sur l'Olympe, les fredaines de Mars, Vénus et Bacchus qui couchent tous trois ensemble et font Vulcain cocu pas moins de 30 fois sur une soirée, et autres histoires du même goût nous semblent passablement vulgaires et manquant de sel. — Il est probable que mon tempérament ne s'accorde guère avec celui des Italiens: car il n'y a pas une seule de leurs oeuvres que j'ai lues jusqu'ici qui m'enthousiasme. Absolument aucune! Je dois me forcer pour arriver au bout le plus souvent.
Je suis aussi en train de déchiffrer Ruwe Liefde de Stijns. Comme c'est dommage que les bonnes qualités qui existent chez l'auteur soient noyées dans tant de défauts! Le style est à tous moments sali par toutes sortes d'expressions toutes faites, par d'insupportables poncifs: eene bladzijde, met tranen geschreven, in de geschiedenis van Vlaanderen, ou[:] het kerkdak school onder zwanedons, etc[.] Puis cette brave pitié naïve dont on a cent fois entendu l'expression très peu variée, étonne sans émouvoir beaucoup.
Vendredi 21.
Voici une semaine que ma lettre est commencée & j'attends toujours en vain la tienne. Que signifie ce long silence? J'en deviens presque inquiet. — Rien de neuf pour ma part. La Vie impossible avance peu. J'ai eu mal à la tête trois jours de suite. Il faisait une chaleur boeuf particulièrement aujourd'hui (25 degrés à l'ombre). Aussi tonne-t-il à présent avec violence & je suis horriblement nerveux. — Si demain matin je n'ai pas reçu de tes nouvelles je t'expédie cette lettre telle quelle, quitte à te réécrire sous peu si c'est nécessaire. —
Samedi matin.
Rien encore de toi. Je t'envoie donc cette épître & te réclame au [6] plus tôt de tes nouvelles. Je te serre fraternellement les deux pattes.
Giacomo
Pourquoi Mane ne m'écrit-il plus?

Annotations

[1] Léon Xanrof, 'Le Fiacre', in: Chansons sans gêne (Paris, G. Ondet, 1892), p. 61.
[2] La Tavola Rotonda werd niet teruggevonden. Misschien is het genoemde artikel een stuk uit het boek dat later op het jaar zou verschijnen: Cesare Lombroso en G. Ferrero, La donna delinquente, la prostituta e la donna normale (Torino, L. Roux, 1893. Van dit werk verscheen begin 1894 een Duitse vertaling van H. Kurella: Das Weib als Verbrecherin und Prostituirte. Anthropologische Studien von C. Lombroso und G. Ferrero. Het werd besproken in Het Volksbelang, XXVIII, 6 (10 febr. 1894), p. 3.
[3] Elegie Romane. Zie brief 111 (alinea 8).
[4] Charles Baudelaire, 'XLIII: Harmonie du soir', in: Les fleurs du mal (Paris, Poulet-Mulassis et de Broise, 1857), p. 101-102. 'L'Addio' van Diego Angeli werd niet teruggevonden.
[5] Almanach de l'Université de Gand pour 1893. Publié sous les auspices de la Société des Etudiants libéraux (Gand, Ad. Hoste [1893]. Zie ook brief 48, noot 3 en brief 133, noot 1.
[6] José Maria de Heredia, Les Trophées (Paris, Alphonse Lemerre, [1893]. Bespreking niet teruggevonden.
[8] Dwelshauvers maakt een allusie op de algemene staking, die door de Socialisten afgekondigd werd "toen de grondwetgevende vergadering op 11 april 1893 het algemeen kiesrecht [voor mannen] verwierp. (...) In de sleutelbedrijven, zoals de metaalnijverheid, de mijnen en de textielindustrie was de staking een succes. Deze gaf opnieuw aanleiding tot gewelddaden, waartegen de koning maatregelen eiste. De socialistische leiders, zoals Volders, Bertrand en Vandervelde, die wel bevreesd waren voor een bloedige krachtmeting zoals in 1886, hebben zich dan neergelegd bij een compromis-voorstel, nl. dat van de Leuvense professor Nyssens, dat het algemeen stemrecht wel aanvaardde, doch gemilderd door het meervoudig stemrecht". Zie Theo Luykx, Politieke geschiedenis van België (Amsterdam-Brussel, Elsevier, deel 1, 1977), p. 194.
Tussen begin april en de datum van het incipit van deze brief (15 april 1893) verschenen steeds meer artikels in Le Peuple en La Réforme m.b.t. de parlementsbeslissing over het algemeen stemrecht, het verwerpen ervan op 11 april, de staking en de toenemende ongeregeldheden te Brussel die daarop volgden. Le Peuple ('Organe quotidien de la démocratie socialiste') riep op tot staking en strijd, La Réforme ('Organe quotidien de la démocratie libérale') nam een behoudsgezinde houding aan en veroordeelde elke directe actie.
De burgemeester van Brussel, Karel Buls, had na het uitbreken van de algemene werkstaking opdracht gegeven de neutrale zone rond het parlement streng te bewaken. Het kwam daarbij tot ernstige incidenten, die snel escaleerden. Zowel Le Peuple als La Réforme brachten er verslag over uit. (Zie beide kranten van 11 tot 15 april 1893).

Register

Naam - persoon

Annunzio, Gabriele D' (° Francavilla a Mare, 1863 - ✝ Gardone, 1938)

Politicus en schrijver.

Bom, Emmanuel Karel De (° Antwerpen, 1868-11-09 - ✝ Kalmthout, 1953-04-14)

Bibliothecaris, journalist en schrijver. Medeoprichter van Van Nu en Straks. Gehuwd met Nora Aulit op 24/08/1901 in Antwerpen.

Buls, Karel (° Brussel, 1837-10-13 - ✝ Brussel, 1914-07-13)

Liberaal politicus.

Dwelshauvers, (Jean) Jacques (° Brussel, 1872-07-09 - ✝ Montmaur-en-Diois (Drôme), 1940-11-14)

Kunsthistoricus en militant anarchist.

Broer van Georges Dwelshauvers en gezel van Clara Köttlitz, met wie hij in 1897 een vrij huwelijk aanging. Deed beloftevolle studies aan het Koninklijk Atheneum Brussel (afd. Latijn-Grieks), waar hij A.Vermeylen leerde kennen. Studeerde 1890-92 natuurwetenschappen aan de ULB (diploma van kandidaat in juli 1892). Met een beurs van de Jacobsstichting vatte hij in oktober 1892 studies in de medicijnen aan te Bologna, samen met de latere geneesheren Herman Köttlitz en Alfred Walravens. Hij verliet Bologna in 1897, zonder de hele cyclus te hebben beëindigd.

In hetzelfde jaar begonnen de eerste strubbelingen met Gust Vermeylen, i.v.m. diens huwelijk met Gaby Brouhon en de strekking en inhoud van Van Nu en Straks. Het jaar daarop maakte hij een nieuwe reis naar Bologna en Bergamo. In het voorjaar van 1899 trok hij met Clara naar Firenze, waar hij zich voortaan geheel aan kunsthistorisch onderzoek wijdde, geboeid door de figuur van Botticelli en de kuituur van het Quattrocento. Hij zou in Firenze ook nog de toelating hebben gevraagd zich voor de eindexamens geneeskunde aan te bieden, maar legde die nooit af. Zijn verblijf in en om Firenze (afwisselend te Calamecca en te Castello), dat tot 1906 duurde, werd regelmatig onderbroken voor reizen naar het thuisland, en naar Parijs.

In 1899 werd te Antwerpen trouwens zijn zoon Lorenzo (Jean-Jacques Erasme Laurent) geboren (op de akte tekende o.m. Emmanuel de Bom als getuige), en het gezin was er officieel ingeschreven aan de Montebellostraat 3 tot 1906. In dat jaar, verhuisden zij naar Colombes bij Parijs (Boulevard Gambetta 46, niet-geregistreerde verblijfplaats). Dwelshauvers, die zich intussen Mesnil noemde (naar twee dorpjes bij Dinant, de geboortestad van zijn vaders familie), onderhield er nauwe contacten met de anarchistische en internationalistische beweging. Hij verdiende de kost met het schrijven van reisgidsen, eerst bij Hachette (o.a. de Guide Joanne - na W.O.I Guide Bleu - over Noord-Italië), nadien bij Baedeker.

Tussen 1910 en 1914 vestigde het gezin Mesnil zich te Alfort bij Parijs, waar - gezien zijn moeilijkheden met de geheime politie - evenmin een officiële inschrijving werd genoteerd. Jacques Mesnil stierf in niet opgehelderde omstandigheden te Montmaur, waar zijn zoon toen zou hebben gewoond; hij leed toen al enkele jaren aan een hart- en nierziekte waarvoor hij o.m. door dokter Schamelhout werd behandeld. Behalve aan Van Nu en Straks werkte hij nog mee aan Mercure de France, La société nouvelle, Ontwaking, Onze kunst, Revista d'Arte, Gazette des beaux arts, Burlington Magazine, de Parijse krant L'Humanité en het Italiaanse Avanti. Een bibliografie kan men terugvinden in de geciteerde bronnen.

Fourneau, Léon (° Parijs, 1867 - ✝ Parijs, 1953)

Eigenlijk: Fourneau, Léon

Auteur en chansonnier: Chansons parisiennes (een verzameling liedjes voor het Parijse cabaret Chat Noir, waaraan hij in 1891 verbonden was), Rive Gauche, chansons d'étudiants, en enkele bekende nummers voor Yvette Guilbert (o.a. Le Fiacre). Hij was ook bedrijvig als toneel- en romanschrijver, en bezorgde de Franse bewerking Rêve de Valse (1910) van de operette van F.Lehar.

Henmequin, Auguste-emile (° Palermo (Sicilië), 1859 - ✝ Samois (Seine-et-Marne), 1888)

Essayist en criticus.

Jeugdvriend van J.K.Huysmans, wiens romandocumentatie hij hielp naspeuren. Vaak in één adem genoemd met Bourget en Taine. Behoorde tot de vroegste medewerkers van La revue indépendante, waarin hij een der eerste artikels over A rebours publiceerde (nr.3, juli 1884, 119-216). Hij besprak ook o.m. L'oeuvre van Zola in La revue contemporaine van april/mei 1886, 565-568. Zijn bijdragen aan La revue contemporaine van april/mei en juni/juli 1886 ('La critique scientifique des oeuvres d'art') werdenherwerkt tot een uitgebreide versie, onder de verzameltitel Etudes de critique scientifique. Het eerste deel Ecrivains Francisés. Dickens-Heine - Tourguénief - Poé - Dostoïeweki - Tolstoï verscheen enkele dagen vóór zijn dood. Het tweede deel Quelques écrivains français. Flaubert -Zola - Hugo - Goncourt - Huysmans, etc. werd in 1890 posthuum uitgegeven. Hij woonde in Parijs en kwam om bij een bezoek aan O. Redon, tijdons een zwempartij.

Lombroso, Cesare (° Verona, - ✝ Turijn, 1909)

Psychiater en criminoloog.

Styns, Reimond (° Mullem, 1850-05-10 - ✝ St.-Jans-Molenbeek, 1905-12-12)

Leraar en schrijver.

Vandervelde, Emile (° Elsene, 1866-01-25 - ✝ Brussel, 1938-12-27)

Socialistisch politicus en economist.

Vermeylen, August. (° Brussel, 1872-05-12 - ✝ Ukkel, 1945-01-10)

Hoogleraar, kunsthistoricus en schrijver. Medeoprichter van Van Nu en Straks. Gehuwd met Gabrielle Josephine Pauline Brouhon op 21/09/1897.

Volders, Jan (° Brussel, 1855-10-08 - ✝ Brussel, 1896-05-11)

Socialistisch politicus.

Titel - boek

Almanach De L'universite De Gand (° 1885 - ✝ 1906)

Uitgegeven onder de auspiciën van de Société Générale des Etudiants de Gand, bij A. Hoste. Tot 1914 voortgezet als Almanach des étudiants libéraux de l'Université de Gand. Bevatte in 1890 een zeer uitgebreid register van de tot dan toe verschenen studententijdschriften. Medewerkers aan het literaire gedeelte waren o.m. L. Franck, Edm. Picard, C. Lemonnier, G. Garnir, F. Severin en H. Krains.

Titel - krant/tijdschrift

Almanach De L'universite De Gand (° 1885 - ✝ 1906)

Uitgegeven onder de auspiciën van de Société Générale des Etudiants de Gand, bij A. Hoste. Tot 1914 voortgezet als Almanach des étudiants libéraux de l'Université de Gand. Bevatte in 1890 een zeer uitgebreid register van de tot dan toe verschenen studententijdschriften. Medewerkers aan het literaire gedeelte waren o.m. L. Franck, Edm. Picard, C. Lemonnier, G. Garnir, F. Severin en H. Krains.

Peuple, Le (° 1885 - °)

Brussels socialistisch dagblad.

Reforme, La (° 1884 - ✝ 1907)

Brussels dagblad, orgaan van de liberaal-democraten (progressisten). Op 17/02/1884 opgericht door o.m. P.Janson, E.Feron en E.Robert. Politiek directeurs waren achtereenvolgens Emile Feron, Champal en Hector Chainaye. Hoofdredacteurs waren achtereenvolgens Albert Ghilain en Georges Corand. Er werd aan meegewerkt door o.m. G.Eekhoud, M. Waller en anderen van La Jeune Belgique.

Tavola Rotonda

? - ?

Voorlopig niet teruggevonden.

Volksbelang, Het (° 1867 - °)

Vlaams liberaal weekblad.